jeudi 22 septembre 2016

RADIO INKINGI/ Théophile Ntirutwa yarekuwe n'abari bamushimuse. Aratubwira insanganya yahuye na zo.




Théophile Ntirutwa yarekuwe n'abari bamushimuse. Aratubwira insanganya yahuye na zo.
https://www.youtube.com/watch?v=BiKehlBnCME

           




FDU-INKINGI/ RWANDA: THEOPHILE NTIRUTWA RECOUVRE SA LIBERTE APRES DEUX JOURS DE TORTURE.

FDU Rwanda

RWANDA: THEOPHILE NTIRUTWA RECOUVRE SA LIBERTE APRES DEUX JOURS DE TORTURE.

Enlevé dimanche le 18 septembre 2016 vers 21h00, heure locale, Théophile Ntirutwa, responsable local des FDU-Inkingi dans la ville de Kigali a fait sa réapparition hier le 20 septembre 2016 vers 23h00.
D’après son témoignage, il a été enlevé par des militaires  alors qu’il rentrait chez lui à moto ; Il a été forcé à rentrer dans leur véhicule. Après l’avoir ligoté, menotté et bandé les yeux, ces militaires l’ont conduit dans un endroit qu’il n’a pas pu formellement identifier puisque sa tête était couverte. Mais qu’il pense être le camp Kami, vu le temps mis pour y arriver et quelques indices qu’il a pu relever pendant des brefs moments où le bandeau était retiré de ses yeux.



<- Théophile Ntirutwa avant son arrestation                              Après son relâchement ->
A son arrivée à son lieu de détention, il a dû être soigné à plusieurs reprises, probablement pour masquer les preuves de torture qu’il avait subie. Il a  en effet reçu à plusieurs reprises des coups de pieds, des gifles, ainsi que des coups de crosse de pistoletPendant sa captivité, M. Ntirutwa Théophile a continué à subir un interrogatoire musclé accompagné de torture sur les mains, des coups dans les flancs et sur la tête comme en témoignent ses photos, avant et après son enlèvement. Suite à l’intrusion par ces interrogateurs dans son téléphone portable, des questions lui ont été posées tout au long de son interrogatoire sur : l’organisation du parti FDU-Inkingi, le nombre de ses adhérents, le nom et les adresses de ses correspondants de l’intérieur et de l’extérieur du Rwanda ainsi que sur des prétendus contacts avec le Général Kayumba Nyamwasa, premier vice-coordinateur du RNC.
Avant d’être conduit à son lieu de largage au Mont Rebero, il lui a été demandé de quitter les FDU-Inkingi en échange d’un traitement de faveur.




Théophile Ntirutwa après son relâchement
Les FDU-Inkingi louent le courage exceptionnel de son responsable qui a refusé de céder à ces chantages et remercient toutes les personnes physiques et morales, qui se sont mobilisées pour lui et ont permis de le retrouver vivant.
Il devient évident que cet enlèvement s’inscrit dans une campagne générale d’intimidation des membres de l’opposition en général et des FDU-Inkingi en particulier. En effet, cet enlèvement intervient quelques jours seulement après l’arrestation de Mlle Gasengayire Léonille, trésorière adjointe des FDU-Inkingi ainsi que de l’assassinat de Mme Iragena Illuminée responsable d’une ONG locale qui s’occupait des démunis de Kigali.
Par ailleurs, M. Jean Marie Vianney Kayumba, le porte-parole du parti d’opposition PDP Imanzi a été arrêté par la police rwandaise en date du 18 septembre 2016, pour des raisons inconnues mais qui semblent s’inscrire dans cette même campagne d’intimidation des membres de l’opposition.
Les FDU-Inkingi condamnent ces actes indignes et demandent au gouvernement rwandais d’y mettre fin, car, aucun acte d’intimidation ne pourra mettre fin à l’aspiration profonde du peuple rwandais à la paix et à la démocratie pluraliste.
Les FDU-Inkingi demandent également à la communauté internationale et aux pays qui soutiennent le pouvoir rwandais de faire pression sur lui afin qu’il libère l’espace politique et permette aux citoyens rwandais d’exercer leurs droits constitutionnels d’association et d’expression, qui sera le seul moyen d’aboutir à une paix durable dans notre pays.

Fait à Paris, le 21 septembre 2016
Pour les FDU-Inkingi
Dr Emmanuel Mwiseneza
Deuxième Secrétaire général
Contact : emwiseneza@hotmail.com

jeudi 15 septembre 2016

RWANDA/FDU-INKINGI/ COMMUNIQUE DE PRESSE/ LES FDU-INKINGI DÉNONCENT LA CONDAMNATION ARBITRAIRE DE SA TRÉSORIÈRE ADJOINTE MADEMOISELLE GASENGAYIRE LEONILLE


FDU Rwanda

COMMUNIQUE DE PRESSE LES FDU-INKINGI DENONCENT LA CONDAMNATION ARBITRAIRE DE SA TRESORIERE ADJOINTE MADEMOISELLE GASENGAYIRE LEONILLE 

Comme il n’avait pas de preuves à charge, le tribunal de première instance de Ruhango vient de condamner la trésorière adjointe des FDU-Inkingi, Mlle Gasengayire Léonille, à 30 jours d’emprisonnement, pour poursuivre les recherches de culpabilité selon le tribunal. 

Dans son arrêt, le tribunal justifie cette peine d’emprisonnement par la nécessité des recherches de culpabilité. Or, la charge de la preuve appartenant à l’accusation, s’il n’y a pas de preuves formelles de culpabilité, l’accusée doit tout simplement être relâchée. Cette condamnation fait donc partie de toute une série de mesures destinées à harceler les opposants politiques afin de faire peur à toute initiative qui chercherait à demander d’exercer tout simplement les droits fondamentaux, pourtant reconnus par la Constitution rwandaise. 

Mlle Gasengayire avait été arrêtée le 23 août 2016, alors qu’elle se trouvait chez ses parents à Kivumu-Rutsiro dans la province de l’Ouest, dans le cadre d’une visite familiale. Détenue d’abord illégalement sans charges par un commandant local, les autorités avaient fini alors par l’accuser d’inciter la population à se révolter contre le gouvernement.
Cet épisode n’était pas le premier, puisque Mlle Gahongayire avait été arrêtée en mars 2016 à la prison centrale de Kigali, connue sous le nom de « 1930 ». Lors de cette arrestation, elle apportait la nourriture à Mme Victoire Ingabire Umuhoza, présidente des FDU-Inkingi, qui purge une peine d’emprisonnement de 15 ans prononcé à l’issue d’un procès politique lui intenté par les autorités rwandaises pour l’empêcher notamment de se présenter aux élections présidentielles de 2010 et de faire enregistrer son parti politique, les FDU-Inkingi. Mlle Gasengayire avait alors été enfermée illégalement dans une cellule de la station de police de Remera-kigali, d’où elle devait réapparaître deux jours plus tard, après que les autorités de police lui ont retiré tout document attestant de cette arrestation illégale. 

La présente condamnation est purement et simplement arbitraire. En effet, une série d’événements montre qu’il n’y a pas de preuves tangibles de culpabilité et que les autorités se donnent juste le temps pour les fabriquer. En effet, après son arrestation, le secrétaire exécutif de Rutsiro avait tenu une réunion publique dans laquelle il avait appelé la population à venir témoigner contre Mlle Gasengayire, puisqu’évidemment il n’y avait pas de preuves de culpabilité. Les témoignages donnés par la suite se sont contredits, le premier témoin affirmant que l’accusée l’avait trouvé entrain de cultiver ses champs, le second affirmant quant à lui qu’il s’occupait de préparer sa moisson. Or, alors que l’accusation prétend que Mlle Gasengayire était en train d’inciter la population à cultiver les champs que l’Etat s’apprête à exproprier à leurs propriétaires, un des témoins continue aujourd’hui d’exploiter son champ alors que Mlle Gasengayire est toujours en prison. Qui donc continue d’inciter cette personne à cultiver son champ ? 


L’accusation prétend que l’accusée a fait signer des pétitions à la population, or, à ce jour, l’accusation n’a pas encore montré ces pétitions. Elle l’accuse en outre de provoquer des troubles à l’ordre public, alors qu’aucun incident n’a été signalé dans le village d’où est originaire l’accusée. Quand on sait que l’accusée n’a passé qu’un jour chez sa mère et que le reste de son temps, elle l’a passé chez sa grande sœur dans un village éloigné, l’on se demande comment elle aurait pu provoquer des troubles à l’ordre public dans le village de sa mère, tout en étant dans un village éloigné chez sa sœur ? Tous ces éléments montrent que l’acte d’accusation de Mlle Gasengayire Léonille est vide et que le but poursuivi tient plutôt à la volonté du pouvoir de continuer à harceler les opposants pour les faire taire. 

Il est clair aussi que le pouvoir a plutôt peur que la population expropriée sans compensation ne réclame ses droits et au lieu de s’attaquer au fond du problème, le pouvoir fait diversion en cherchant des boucs-émissaires. Ce n’est pas la première fois que des personnes sont arrêtées pour avoir exercé leurs droits. L’année passée déjà, des étudiants avaient été arrêtés pour seul motif d’avoir écrit au premier ministre pour lui demander d’intervenir dans le dossier de leurs bourses d’études. 

Les FDU-Inkingi demandent au gouvernement rwandais d’ordonner la libération de Mlle Gasengayire Léonille sans délai et de mettre fin à des actes de harcèlement et d’intimidation dirigés contre ses membres. 

Elles demandent également au gouvernement de réviser et de clarifier tous les articles de loi en rapport avec l’incitation aux troubles à l’ordre public, puisque ces articles sont régulièrement utilisés à tort et à travers pour museler l’opposition et l’empêcher de revendiquer ses droits politiques. Les FDU-Inkingi demandent à la Communauté Internationale, aux pays bailleurs de fonds du gouvernement rwandais, aux organisations internationales des droits de l’homme ainsi qu’à toutes les personnes éprises des valeurs de paix et de démocratie ayant une influence quelconque, de faire pression sur le gouvernement rwandais afin qu’il cesse des actes d’intimidation et de harcèlement et qu’il libère tous les prisonniers politiques et ouvre l’espace politique, pour permettre à la population de jouir pleinement de ses droits fondamentaux civiques et politiques garantis par la Constitution rwandaise et par les conventions internationales que le gouvernement rwandais a signées.

Les FDU-Inkingi demandent enfin à ses membres ne pas céder à ses actes d’intimidation et de continuer de tout faire pour amener le gouvernement rwandais à l’acceptation d’un débat démocratique pluraliste.

Fait à Paris, le 14 septembre 2016 

Pour les FDU-Inkingi 
Dr Emmanuel Mwiseneza 
Deuxième Secrétaire général 

mardi 13 septembre 2016

RWANDA/ Nyamirambo: Abaturage bigaragambije bafunga umuhanda n’amabuye


Nyamirambo: Abaturage bigaragambije bafunga umuhanda n’amabuye

Chief Editor | 13-09-2016
Nyamirambo: Abaturage bigaragambije bafunga umuhanda n’amabuye
Abaturage bakoze umuhanda uva i Nyamirambo ujya i Mageragere hose ho mu karere ka Nyarugenge mu mujyi wa Kigali, ku gicamunsi cyo kuri uyu wa Kabiri tariki 13 Nzeri 2016, bigaragambije bafunga umuhanda bakoresheje amabuye babuza imodoka guca muri uyu muhanda kuko ababakoresheje batigeze babishyura.
Mu kiganiro ikinyamakuru Ukwezi.com cyagiranye na Simon Peter Kalinda ushinzwe imicungire y’aba bakozi, yadutangarije ko hari abafundi basaga 170 n’abayedi basaga 200 bakoze ibikorwa by’ubwubatsi mu muhanda uva i Nyamirambo ugana i Mageragere, bakaba bari basanzwe babishyura buri cyumweru ariko ubu hakaba hashize ibyumweru bitatu batabahemba.
Bari batambitse amabuye mu muhanda ngo babanze bishyurwe ibirarane byabo
Avuga ko gutinda byatewe n’uko inzira zo kwishyura aya mafaranga zafashe igihe kirekire, kuburyo n’ubu bakirimo kubyirukamo ngo babishyure amafaranga yabo, bose hamwe bakaba babafitiye amafaranga y’u Rwanda asaga 4.300.000.
Simon Peter Kalinda avuga ko kuwa Gatandatu w’icyumweru gishize aba bakozi bavuze ko batazongera gukora batarahembwa, abandi nabo bakabizeza ko bagiye gushakisha bakabishyura ngo akazi gakomeze, ndetse no kuri uyu wa Kabiri abakuriye ibi bikorwa by’ubwubatsi bakaba bazindutse biruka mu bijyanye no gushaka ayo amafaranga, maze mu masaha y’umugoroba ahagana saa kumi, abakozi barigaragambya bafunga umuhanda bakoresheje amabuye, babuza imodoka gutambuka.
Icyakoze ubwo twavuganaga n’uyu Simon Peter Kalinda ahagana saa kumi n’ebyiri z’umugoroba, yavugaga ko Polisi yari imaze guhosha iyo myigaragambyo n’umuhanda wongeye kuba nyabagendwa, mu gihe aba bakozi nabo bari bategereje umuyobozi mukuru ukuriye ibikorwa byo kubaka uyu muhanda witwa John Bosco Kagubare ngo bumve icyo ababwira kuri iki kibazo.

mardi 6 septembre 2016

FDU-INKINGI/ COMMUNIQUE DE PRESSE: LE TROISIEME CONGRES DES FDU-INKINGI TENU A ORLEANS EN FRANCE


FDU Rwanda


COMMUNIQUE DE PRESSE
LE TROISIEME CONGRES DES FDU-INKINGI TENU A ORLÉANS EN FRANCE


Du 3 au 4 septembre 2016, les FDU-Inkingi ont tenu leur troisième congrès ordinaire.
Après le mot de bienvenu de M. Emmanuel Dukuzemungu, représentant le Comité Politique Local (CPL) d’Orléans qui a accueilli ce congrès, une minute de silence a été observée pour les camarades de lutte incarcérés au Rwanda à cause de leur combat politique, parmi lesquels notre Présidente Mme Victoire Ingabire Umuhoza et notre premier secrétaire général M. Sylvain Sibomana. Une minute de silence a été ensuite observée pour notre collègue Stanis Niyibizi, Président du CPL Hollande, qui nous a quittés ainsi que pour Mme Illuminée Iragena succombée aux tortures des services secrets du Front Patriotique Rwandais (FPR) le 30 août 2016.
Après vérification du quorum, le congrès fut ensuite officiellement ouvert par M. Joseph Bukeye, 2ème vice-président, au nom de la présidente du Parti emprisonnée au Rwanda.
Il a insisté sur le caractère spécial de ce 3ième congrès ordinaire: en effet, ce troisième congrès est le premier qui se tient deux ans après la mise en place du premier comité directeur démocratiquement élu.
Il se tient dans un climat serein résultat de la mise en application des recommandations du dernier congrès d’Alost en Belgique ayant conduit à une meilleure gestion du parti pendant les deux années écoulées. Par ailleurs, il se tient au moment où le Rwanda est caractérisé par un climat d’insécurité sans précédent  et par un « état de guerre  qui ne dit pas son nom » qui pèse sur le pays et qui se manifeste par des incitations publiques aux exécutions sommaires dont les hauts responsables politiques et militaires rwandais  se rendent publiquement coupables.
Il a ensuite rappelé le souhait que la prisonnière politique Mme Victoire Ingabire Umuhoza, Présidente des FDU-Inkingi, a exprimé aux juges de la Cour Africaine des droits de l’homme et des Peuples soulignant que « si exprimer et incarner les revendications du peuple rwandais est un crime », alors  elle préfère rester en prison plutôt que de se taire et de trahir cette cause. Le deuxième vice-président a exhorté les congressistes à relayer ce message à tous les membres des FDU-Inkingi pour qu’ils soient les porte-paroles des sans-voix, des personnes qui sont des victimes journaliers des injustices de tout genre, des personnes portées disparues, de  celles qui sont injustement jetées en prison ou sommairement exécutées… et d’être prêts à aller jusqu’au bout quitte à se sacrifier pour servir cette noble cause.
Les congressistes ont ensuite écouté attentivement le message de la Présidente des FDU-Inkingi, Mme Victoire Ingabire Umuhoza, actuellement  prisonnière politique du régime dictatorial du FPR. Elle a invité les congressistes à persévérer dans une lutte déterminée pour sauver le peuple rwandais du gouffre socio-économique et sécuritaire dans lequel le FPR l’a enfoncé.
Le Comité sortant a ensuite fait une analyse critique de son mandat et a présenté son bilan  largement positif suite à la sérénité qu’il a su créer dans l’équipe de direction. Ce bilan fut aussi jugé positif par la Commission Suivi-Evaluation qui a présenté son rapport au congrès.
Les travaux du congrès se sont poursuivis par l’analyse critique des actions menées pour atteindre les objectifs que le comité sortant s’était fixés, ce qui  qui a permis de dégager les orientations politiques qui serviront de références pour le programme d’activités  du prochain mandat.
Après la démission du Comité sortant, la Commission électorale a annoncé les candidatures, avant d’entamer les élections du nouveau bureau politique.
Les résultats des élections du Bureau Politique sont les suivants :
  • Présidente  : Mme Victoire Ingabire Umuhoza
  • Premier Vice-Président  : M. Boniface Twagirimana
  • Deuxième Vice-Président  : M. Joseph Bukeye
  • Premier Secrétaire général  : M. Sylvain Sibomana
  • Deuxième Secrétaire général  : Dr. Emmanuel Mwiseneza


Après la mise en place du Bureau politique, les commissaires suivant ont été proposés et approuvés par le Congrès :
  • Mobilisation politique : Dr. Innocent Biruka
  • Relations Extérieures : M. Justin Bahunga
  • Plateforme, relations avec les autres partis
politiques et la société civile : : M. Charles Ndereyehe
  • Stratégies et affaires politiques : M. Placide Kayumba
  • Affaires financières et promotion de la femme : Mme Naomie Mukakinani
  • Jeunesse : M. Fidèle Kabera
  • Réfugiés & Affaires sociales : M. Emmanuel Dukuzemungu
  • Sécurité & documentation : M. Pierre Claver Karangwa
  • Affaires juridiques et droits de l’homme : M. Joseph Mushyandi
  • Information et Communication                     : Dr. Emmanuel Mwiseneza


En ce qui concerne les commissions spéciales, le Congrès en a désigné trois, qui ont élu leurs présidents comme suit :
  • Commission Suivi-Evaluation : M. Joram Mushimiyimana
  • Commission Discipline : M. Jean Baptiste Rumagihwa.
  • Commission Electorale : M. Augustin Munyaneza


Dans son mot de clôture, le deuxième vice-président, M. Joseph Bukeye, a remercié ceux qui ont préparé le congrès ainsi que les congressistes pour leur participation active et sereine dans les travaux du Congrès.  Il a enfin remercié la nouvelle équipe qui accepté de travailler avec la Présidente du parti et ses collaborateurs pour conduire le parti à la réalisation de sa mission qui est celle d’instaurer un régime démocratique et respectueux des droits humains au Rwanda.


Fait à Orléans, France, le 4 Septembre 2016

Dr. Emmanuel Mwiseneza, Deuxième Secrétaire Général